Pierre Ragues et son copilote et père Marcel Ragues, ont pu goûter au champagne après une semaine à travers la France dans le cadre du Tour Auto Optic 2000, puisqu’ils terminent deuxième au général et premier de classe avec leur A110 Berlinette 1600 S.

Avec près de 200 équipages admis pour la 23^ème édition de cette course légendaire, Pierre et Marcel étaient engagés dans la catégorie « Régularité », qui était elle-même divisée en 3 sous catégories : moyenne horaire basse, medium et haute. Le duo remportait sa catégorie (haute) et finissait second au général, un résultat fantastique pour la troisième participation du père et du fils au Tour Auto Classic.

Pour Pierre, qui était engagé en tant qu’ambassadeur de la marque Alpine, ce résultat est dans la continuité des belles performances qu’il a réalisé pour Alpine. Ce fut une belle semaine pour Ragues, avec une météo magnifique durant toute la course, une voiture parfaite et performante dans un décor de rêve.

Le duo a également roulé sur le circuit Paul Ricard, là où Pierre a récemment testé la Signatech-Alpine engagée en ELMS, et a pu apprécier l’arrivée finale à Marseille. Il y avait de nombreux fans d’Alpine sur tout le tracé ce qui rendait le rôle d’ambassadeur d’Alpine de Pierre encore plus spécial.

Pierre déclarait : « Pour la troisième fois, j’ai eu le plaisir de prendre part au Tour Auto Optic 2000 aux côtés de mon père. L’édition de cette année était encore plus spéciale puisque j’officiais en tant qu’ambassadeur pour Alpine, et nous avons pu ressentir un soutien immense des fans tout au long du tracé. Pour couronner le tout, nous avons réalisé une belle performance cette année en terminant sur le podium en « Régularité » et en remportant notre catégorie. Nous avons pris beaucoup de plaisir ces derniers jours, du départ de Paris aux différents circuits dont le Paul Ricard et enfin l’arrivée finale à Marseille. Ce fut un bel évènement avec des compétiteurs incroyables et très agréables. Je suis reconnaissant envers Alpine de m’avoir confié un rôle si extraordinaire, au volant de l’A110 Berlinette 1600 S. »